Une source bien informée au sein de la Société de promotion des logements sociaux (SPROLS) a déclaré ce mercredi 10 aout que ladite institution n’arrive pas à récupérer ses logements illégalement exploités depuis la révolution.
C’est illogique, a lâché notre source, tout en mettant l’accent sur les décisions de justice qui ont été rendues en faveur de la SPROLS et ce, depuis deux ans.
Dans une déclaration accordée aujourd’hui à Africanmanager, il a pointé du doigt ce retard au niveau de l’application des décisions de restitution de ces logements, qui aura certainement un effet négatif.
D’après les estimations, cela coûte environ un million de dinars par an, sachant que les investissements pour ces logements squattés se sont élevés à 7 millions de dinars.
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