Facebook, Microsoft, Twitter et YouTube ont annoncé la création d’une base de données commune pour empêcher la propagation des contenus à vocation terroriste, nous apprend ce mardi, l’AFP.
Chaque entreprise aura la charge d’évaluer si le contenu contrevient à ses propres règles, afin de le retirer ou le bloquer.
L’initiative intervient alors que les États-Unis, la Commission européenne et une série d’autres gouvernements ont multiplié les appels ces derniers mois à ce que les réseaux sociaux intensifient leur lutte contre la propagande djihadiste en ligne, ajoute la même source.