Les Tunisiens sont bien en peine de comprendre, ce lundi, quelle mouche a piqué le président de la République provisoire, Moncef Marzouki, pour recevoir au palais de Carthage les membres de la Fédération tunisienne des échecs.
D’autant que cette audience coïncide avec la montée des menaces terroristes à laquelle est venue s’ajouter la géante panne électrique plongeant dans le noir toute la Tunisie.
Notre président ferait mieux de reconsidérer la hiérarchie des priorités qui est la sienne et repenser les échiquiers sur lesquels il opère.
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