Comparaissant en état d’arrestation devant le tribunal de première instance de Tunis 2, Imed Dghij, président de la ligue de protection de la révolution du Kram a nié les chefs d’accusation retenus contre lui, à savoir ceux de menaces, d’atteinte à autrui et de conspiration contre des fonctionnaires publics par l’usage de la violence.
Lors de son interrogatoire, il s’est dit victime de « la contrerévolution et des lobbies influents ainsi que des syndicats de la sécurité », demandant que justice soit faite, car , a-t-il dit, les faits qui lui sont reprochés font partie d’une affaire politique montée de toutes pièces.
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