Le commandement de l’Armée nationale hésite encore à lancer l’offensive terrestre qui devait commencer le 20 août courant, en attendant l’arrivée des drones (avions sans pilote) pour des missions de surveillance aérienne et éventuellement de bombardements, selon une source militaire citée par le journal Achourouk.
Dans le même temps, les bombardements terrestres ont diminué d’intensité au cours des derniers jours, du fait de la prolifération des champs de mines, comme en témoignent la découverte de corps de terroristes calcinés et la présence de fosses communes entourées de mines , ce qui pourrait causer des pertes parmi les militaires qui chercheraient à y accéder.
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