Dans une déclaration à Shems FM, le ministre des Droits de l’homme et de la Justice transitionnelle, Samir Dilou, a déploré le meurtre e Chokri Belaïd, qu’il considère comme un ami et un collègue malgré les différences de vues et d’appartenance.
Dilou n’a pas exclu, en outre, que la mort de Chokri Belaïd soit un assassinat politique.
Il a ajouté que la violence sous toutes ses formes n’épargne personne et qu’elle ne sert l’intérêt de personne.
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