Dans une interview accordée au quotidien « Attounissia », le ministre des affaires étrangères, Mongi Hamdi a nié la présence des pressions exercées par la présidence de la république sur les activités du ministère des Affaires Etrangères (MAE) ni sur son travail comme ministre.
Il a, par ailleurs, précisé que la différence existe parfois, mais ceci est habituel dans un pays qui vit la démocratie et le fruit d’un processus transitionnel. « Il n’y a pas des divergences, mais à travers la concertation, on arrive à trouver les solutions adéquates », a-t-il rassuré avant de rappeler les prérogatives du président de la République, chargé de définir les caractéristiques générales de la politique étrangère.