D’après Walid Bennani, vice-président du groupe parlementaire d’Ennahdha, le parti islamiste reste encore attaché au dialogue national, considéré comme seule issue à la crise que vit la Tunisie depuis l’assassinat de Mohamed Brahmi le 25 juillet dernier.
Dans une déclaration à Africanmanager, il a indiqué que le dialogue réussirait et il ne serait plus l’otage d’une minorité et le pays se dirigeait vers le consensus qui ne se fait pas par les diktats, mais par la persuasion.