Mohamed Abbou, ex-secrétaire général du CPR, a affirmé, dans une interview au journal Al Maghreb, qu’il a attiré l’attention du président de la République provisoire, Moncef Marzouki, sur certaines fautes commises par certains de ses conseillers ajoutant que « nous attendons aujourd’hui des décisions, faute de quoi, nous en dévoilerons les noms », a-t-il averti.
Invité à préciser sa pensée, Mohamed Abbou a répondu : « lorsque nous l’informons de choses déterminées, nous sommes enclins à penser qu’il fera son devoir ». « Il y a certains Lucifer », a-t-il ajouté.