Mohamed Ben Salem , dirigeant au mouvement Ennahdha, emporté par l’idolâtrie qu’il voue au parti qui est les sien, est allé jusqu’à dire que « les Tunisiens trouveront peut-être dans l’histoire d’Ennahdha une occasion de jouir de la bénédiction apportée à la Tunisie par la présence d’un parti modéré. »
Dans une déclaration à l’occasion de la célébration du 32ème anniversaire d’Ennahdha, il a invité les Tunisiens à « méditer l’histoire du mouvement et l’extrême violence dont il est l’objet , sans y réagir ».