La Tunisie de l’après Révolution aurait ressemblé à la Somalie, n’eût été le mouvement Ennahdha, écrit le dirigeant nahdhaoui, Ajmi Lourimi, dans sa page facebook. Il a évoqué l’impossibilité d’une vie sûre et paisible, si Ennahdha n’était pas au pouvoir, ajoutant que le mouvement qui est le sien, Ennahdha, et la seule partie qui se soit chargée de protéger toutes les institutions en Tunisie.
De telles conjectures ont suscité une vague d’étonnement et même d’indignation sur les réseaux sociaux. D’aucuns ont compris les analyses de Lourimi comme autant de menaces si Ennnahdha ne remportait pas les prochaines élections.