« Nous n’intervenons pas dans le tourisme, mais nous estimons que ce dernier, ce n’est pas les jeux de hasard et le nudisme », a affirmé Rached Ghannouci, chef du mouvement Ennahdha, dans une interview à la BBC Arabic. Il a plaidé plutôt pour le tourisme culturel, celui des congrès, celui des monuments archéologiques ainsi que le tourisme saharien et le tourisme de santé qui attire plus de 200 mille libyens, algériens et ressortissants de pays européens par an.
Il a souligné que plus de 5 millions de touristes ont visité la Tunisie, au cours de l’An II de la Révolution, ce qui est, a-t-il dit, une situation excellente eu égard au fait que l’Etat dépend dans une large mesure de l’industrie touristique.
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