Un front appelé « Front de salut » sera constitué incluant des partis politiques, des composantes de la société civile et des organisations, a annoncé à Al Jarida, Samir Bettaieb, porte-parole officiel du parti Al Maçar démocratique qui a précisé qu’il ne s’agit d’une alliance politique ou électorale, mais d’une alliance pour sauver la Tunisie des dangers de la violence politique.
L’initiative de constituer ce front qui comprendra environ 28 partis politiques et composantes de la société civile, fait suite à l’assassinat de Chokri Belaid. Y participent notamment les partis Al Joumhouri, Al Maçar, Nida Tounès, et le Front populaire.