Les grèves, sit-in et mouvements sociaux qui ont secoué et secouent encore le bassin minier tunisien, auront coûté à la Tunisie, 1,2 milliards DT en produits de phosphate non vendus, alors même que le cours international du phosphate enregistrait sa plus grande hausse de l’année. Et alors que la CPG (Compagnie de phosphate de Gafsa) et que les entreprises qui en dépendent comme Al Kimia, souffrent et se retrouvent obligées d’orienter leurs urgences vers le social, c’est le Maroc qui récupère les parts de marché de la CPG et du phosphate tunisien. Vive la Révolution.
- Publicité-