3 millions de dollars, c’est le montant d’un don japonais pour financer un projet intitulé » Programme de travaux publics à haute employabilité à Jendouba »
Financé à travers le JSDF et administré par la Banque mondiale avec la participation de la communauté locale, le projet revêt une importance particulière, selon Riadh Bettaieb, ministre de l’Investissement et de la Coopération internationale. Il aidera, en effet, à stimuler la création des projets dans les régions marginalisées, particulièrement à Jendouba.
Ce projet permettra aux jeunes peu qualifiés dans ce gouvernorat de disposer de revenus en leur offrant la possibilité de participer à des travaux dans le but de promouvoir leur employabilité, et ce en suivant des sessions de formation.
Aussi, le » programme de travaux publics à haute employabilité à Jendouba » est une opportunité pour tester une nouvelle approche, celle participative.
Une approche qui répond, d’après Eileen Murray, représentante résidente de la Banque mondiale en Tunisie, aux attentes de la catégorie la plus vulnérables et la moins servie. « C’est un projet pilote qui vient répondre aux problèmes de l’exclusion sociale », a affirmé Eileen avant d’ajouter que « il financera environ 100 projets »
La convention relative à ce concours financier a été signée, lundi 18 juin 2012, au siège du ministère de l’Investissement et de la Coopération internationale.
W.T