Selon des sources informées citées par le quotidien Assarih, il n’a été recensé qu’un seul cas de fille enceinte parmi celles de retour en Tunisie après avoir été enrôlées dans le jihad nikah en Syrie, contrairement à ce qui a été rapporté par les médias et les réseaux sociaux.
Ce nombre est infime en comparaison avec celui des filles d’autres nationalités, notamment européennes, arabes, tchétchènes et afghanes.
D’autre part, 4 filles du jihad nikah, de retour de Syrie, sont actuellement détenues dans le cadre d’enquêtes instruites à leur encontre. Leur âge varie entre 18 et 23 ans et sont originaires de plusieurs régions de Tunisie.