L’Instance indépendante chargée de réformer l’information et la communication en Tunisie (Inric) a annoncé, mercredi 4 juillet, qu’elle se saborde et met fin à son travail faute de pouvoir accomplir sa mission, accusant le gouvernement de censure.
« L’Instance ne voit pas l’utilité de continuer son travail et annonce qu’elle met fin à son travail », a déclaré Kamel Labidi, président de l’Inric, expliquant cette décision en accusant « le gouvernement de recourir à des moyens de censure et de désinformation ».
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