L’état d’urgence a été prolongé d’un mois, jusqu’au 31 octobre. Il s’agit de « parer à tout risque de violence et assurer la sécurité des représentations diplomatiques, après l’attaque de l’ambassade américaine ».
La procédure de la prolongation a été lancée en accord avec les ministères de l’Intérieur, de la Défense et le chef du gouvernement. La publication de cette décision dans le journal officiel nécessitait la signature du président Moncef Marzouki qui a regagné Tunis mercredi après un voyage à New York et au Pérou.
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