Des consultations ont eu lieu entre le gouvernement tunisien et des institutions financières internationales notamment la Banque mondiale sur les moyens d’équilibrer les finances de la Tunisie.
Selon Attounsia, ces institutions ont affirmé que le gouvernement tunisien sera obligé, en 2013, d’augmenter les prix des hydrocarbures de 200 millimes le litre, une orientation que le gouvernement n’a pas encore étudiée mais qui sera soumise au Conseil des ministres pour discussion.
Les experts estiment que chaque augmentation d’un dollar du prix du pétrole sur le marché mondial coûte à la Tunisie 32 millions de dinars et des charges supplémentaires d’un montant de 52 millions de dinars.