Après avoir parlé de montée d’un « fascisme islamiste », au lendemain de l’assassinat de l’opposant tunisien Chokri Belaïd, le ministre francais de l’Intérieur, Manuel Valls , revient à la charge.
Dans une interview à Jeune Afrique, il a affirmé qu’il fait la distinction entre islam et islamisme. Mais, ajoute-t-il, la violence qui s’exerce au nom de l’islam radical est une réalité qu’il faut combattre. Ce qui se passe aujourd’hui en Tunisie me donne, je crois, raison. »