Sur la base d’une dépêche de l’agence d’information France Presse (AFP) qui parle de la crise politique entre Moncef Marzouki et Hammadi Jbali à l’issue de l’affaire Baghdadi Mahmoudi, l’agence estime que cette crise «illustre aussi la faiblesse des prérogatives du président de la République, cruellement surnommé « tartour » (en arabe: personnage insignifiant, de décor) sur les réseaux sociaux tunisiens». Voici ainsi le nouveau sobriquet d’un président qui refuse de démissionner et porte la crise avec le Chef du gouvernement, devant la Constituante.
De mémoire de Tunisien, aucun président n’a eu droit à de tels « égards ».