Le débat sur la question de confiance a été ouvert à l’Assemblée des représentants du peuple immédiatement après l’allocution liminaire du chef du gouvernement, Habib Essid.
Premier à prendre la parole, l’élu du mouvement Ennahdha, Sahbi Attig, a vu dans l’initiative de Habib Essid un « exercice démocratique par excellence », ajoutant que « une démission sous la contrainte n’en est pas une ».
Le député nahdhaoui a abondé dans ce sens en qualifiant Essid d’ « homme courageux, honnête, propre et nationaliste », citant entre autres réalisations à l’actif de son gouvernement un mois de Ramadhan sans opérations terroristes.
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