L’Internet a aussi souffert de la dictature en Tunisie sous le regard complice de ceux qui ont coutume de retourner leur veste. Pendant plusieurs années, la plateforme de partage de vidéos YouTube a été bloquée. Depuis janvier 2011 les Tunisiens pouvaient accéder à YouTube et à Dailymotion. La Tunisie est aujourd’hui libre.
Depuis le 20 octobre 2011 un partenariat entre la plateforme et le portail d’informations Tunisia-live.net a été annoncé sur le blog officiel de Google. Ce partenariat donne possibilité aux hommes politiques de se former aux outils de Google et aux médias sociaux – une manière pour Google de faire sa publicité. Le même jour, une chaîne sur YouTube a été lancée par Tunisia-live.net : Tunisia Talks, une chaîne qui permet de mettre en contact direct les citoyens tunisiens et les acteurs actuels de la scène politique tunisienne.