Le ministre de l’intérieur, Najem Gharsalli a reconnu, jeudi, lors de son audition par la commission des droits et libertés auprès de l’Assemblée des représentants du peuple, que le ministère n’est pas peuplé d’enfants de chœur et de chérubins, reconnaissant l’existence de bavures policières comme partout dans tous les pays.
Cité par Mosaïque fm, il a ajouté qu’il avait donné des ordres aux forces de sécurité de ne pas faire usage de matraques ou de gaz lacrymogène pour disperser les manifestants.
- Publicité-