Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a déclaré vendredi que « le gouvernement a pris des mesures douloureuses mais indispensables » ajoutant que « les augmentations ont semblé excessives, mais sont nécessaires ».
Intervenant à l’ouverture de la réunion des représentants des partis et organisations signataires du Document de Carthage, il a affirmé que le budget 2018 voté par l’Assemblée des représentants du peuple est celui des « équilibres financiers », ajoutant que la Tunisie « fait face à des détériorations financières ».
D’autre part, le chef de l’Etat a dit « respecter les décisions des partis qui se sont retirés du Document de Carthage », à l’instar d’Al-Joumhouri et Afek Tounès.
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