Quelques heures après avoir reproché à la présidence de la République son intervention dans les nominations, ce qu’il a considéré comme une atteinte au principe de la transparence, l’ex ministre de la Fonction publique et de la gouvernance, Abid Briiki, s’est retrouvé visé par la même accusation.
Selon un document fuité, remontant à l’année 2014, date à laquelle Briki était secrétaire général adjoint de l’UGTT, celui-ci était intervenu auprès du ministre des Affaires sociales de l’époque pour lui demander de favoriser le recrutement d’une diplômée en chômage. Une démarche où l’ex ministre s’autorise pour lui-même ce qu’il dénonce chez la présidence de la République.
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