Selon le quotidien « le monde.fr, cinq jours après la décapitation d’Hervé Gourdel, l’armée algérienne continue ses opérations de ratissage dans le massif montagneux du Djurdjura, en Kabylie, pour retrouver le corps du randonneur français et localiser ses assassins, appartenant au groupe djihadiste Jund Al-Khilafa (« Soldats du califat »), qui a récemment fait allégeance au groupe djihadiste de l’Etat islamique (EI).
Entre 2 000 et 3 000 hommes sont toujours déployés pour ratisser la zone et surveiller les accès au massif du Djurdjura. Les autorités ne communiquent pas sur la conduite des opérations, dirigées par des « hauts gradés ». Des sources sécuritaires non identifiées citées par les médias soulignent la difficulté de retrouver le corps du ressortissant français dans une région montagneuse où les caches possibles sont très nombreuses, rapporte la même source.