Dans sa derniere édition parue mercredi 31 juillet 2013, le canard enchaîné rappelle’ que « La mort du premier opposant avait entraîne, il y a quelques mois, la chute du premier gouvernement islamiste en Tunisie (Hamadi Jebali). »
Ali Laareydh peaufine donc ses arguments: « Nous ne nous accrochons pas au pouvoir, mais nous avons le devoir et une responsabilité que nous assumons jusqu’au bout. » C’est amusant, cette habitude de tous les gouvernements, quand ils sont au bord de la chute, d’invoquer leur sens du devoir, commente le journal satirique français .
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