Les partis composant le Front de salut national ont fixé un moratoire de quelques jours pour la formation d’un consensus sur le prochain chef du gouvernement, et menacé de reprendre les protestations pacifiques au cas où la troïka et le mouvement Ennahdha s’obstineraient à entraver le consensus.
A l’issue d’une réunion « urgente », les partis du FSN ont nié toute tractation entre des dirigeant d’Ennahdha et ceux du Front en dehors du Dialogue national.
- Publicité-