Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Moncef Boukthir, a affirmé le soutien de son département aux étudiants étrangers en situation légale.
Boukthir a rappelé, lors de sa rencontre, hier vendredi au siège du ministère, avec une délégation de l’association des étudiants et stagiaires africains en Tunisie (AESAT), les instructions que le Président de la République a données dans son allocution du 23 février 2023 à tous les responsables pour garantir les conditions propices aux africains établis en Tunisie. Boukthir, a, à cette occasion, affirmé le souci du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et des différentes composantes du système universitaire tunisien de permettre aux étudiants étrangers de poursuivre leurs études en Tunisie dans les meilleures conditions dans le respect de la loi.
Les représentants de l’AESAT ont appelé les différentes structures concernées à intervenir pour les aider à surmonter les difficultés qu’ils rencontrent.
Le ministre de l’enseignement supérieur affirme le soutien aux étudiants étrangers en Tunisie
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il faut un quota d’ étudiants étrangers qui fréquentent nos universités car le pays n’est pas riche et traverse la plus grave crise économique financière et sociale de son histoire pour supporter les frais d’études et de formation des étudiants étrangers dont le nombre est de plus en plus important et une fois ils ont terminé leurs études ils doivent quitter le pays car nous avons des milliers de diplômés du supérieur en chômage .
Mr ou Mme les étudiants étrangers ici payent pour leurs scolarités nous payons des logement trois fois plus chères que le tunisien lambda, nous consommons sur le marché donc on apporte notre contribution au marché tunisien. Nous ne sommes des charges pour la Tunisie mais plus des acteurs pouvant apporter à la Tunisie des nouvelles perspectives de développement et surtout des nouvelles parts de marché en Afrique. Dommage que la Tunisie ai un système d’économie fermé et c’est cela qui affaibli votre marché. Prenez exemple sur le Maroc.