Les actions de Zenith Energy Ltd ont grimpé de 11% avant de plonger de 6% dans le rouge à 0,4 pence après que la compagnie pétrolière a annoncé avoir lancé une procédure judiciaire contre la République tunisienne pour réclamer « au moins 48 millions de dollars US ».
La société a déclaré qu’elle avait soumis une demande d’arbitrage au Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements aux États-Unis, conformément à un accord signé entre les gouvernements du Royaume-Uni et de la Tunisie en 1989.
Zenith a déclaré avoir lancé la procédure à la suite d’une « série d’actions entreprises par le gouvernement tunisien au détriment matériel des intérêts commerciaux des investisseurs », a déclaré Zenith dans un communiqué, y compris des « obstructions déraisonnables et arbitraires » en rapport avec le développement des concessions de Sidi El Kilani et d’Ezzaouia.
Ces actions sont contraires aux termes des licences et constituent des « obstructions injustifiées » pour le traitement de la vente du pétrole produit, a ajouté la société.
Des efforts ont été déployés pour entrer en contact avec les organismes gouvernementaux compétents en Tunisie, mais ils n’ont pas abouti, a déclaré la société, et l’arbitrage a donc été lancé « pour sauvegarder ses intérêts commerciaux et ses droits légaux ».
Le cabinet d’avocats Gide Loyrette Nouel, spécialisé dans la résolution des litiges, a été engagé comme conseil et les négociations avec un bailleur de fonds spécialisé dans les litiges au sujet d’un accord de financement « no win-no fee » seraient « avancées », dans le but de couvrir tous les coûts liés à l’arbitrage.
Sur la base de conseils juridiques, les administrateurs pensent que l’arbitrage aboutira ou qu’il y aura un règlement à l’amiable.
La production et le développement se poursuivent ailleurs en Tunisie, a ajouté Zenith, avec un total d’environ 8 000 barils de pétrole en stock « prêts à être vendus sous réserve de l’obtention des autorisations d’exportation locales ».
Ennahda… trop gourmands, = retour de manivelle.
C’est des British ils sont rusés comme des renards… Le gouvernement ne doit pas baisser les bras et défendre l’intérêt de l’état tunisien, appliquer à la lettre le Code des hydrocarbures.