La présidente de l’Union nationale de la femme Tunisienne (UNFT) Radhia Jéribi a affirmé mardi que son organisation s’emploie à assurer la prise en charge des femmes subsahariennes refugiées en Tunisie, partant du principe selon lequel « les droits de l’homme sont indivisibles ».
Elle a indiqué dans une déclaration à la TAP en marge d’une journée de sensibilisation sur la lutte contre toutes les formes de violence basées sur le genre social, organisée au centre de prise en charge et d’encadrement 13 aout à la Kasbah, en collaboration avec le haut commissariat des droit de l’homme, que la situation des personnes arrivées en Tunisie après avoir fui les zones de conflit armé ou les guerres civiles, est extrêmement difficile vu qu’ils sont soumis à plusieurs formes d’exploitation, ajoutant que la plupart d’entre eux n’ont pas régularisé leur situation sur le territoire tunisien.
Jéribi a appelé à la nécessité de trouver des mécanismes permettant de protéger les subsahariens contre le racisme et les atteintes à leur intégrité physique.
Radhia Jéribi: L’UNFT s’emploie à assurer une protection aux femmes subsahariennes refugiées en Tunisie
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elles ne sont pas des réfugiées politiques mais des migrantes économiques clandestines qui veulent prendre nos cotes comme plateformes de leurres émigrations clandestines vers les cotes européennes alors elles travaillent dans la clandestinité et certaines qui ne peuvent pas émigrer elles prennent notre pays comme résidence qui connait après la révolution de 2011 la pire crise économique financière et sociale de son histoire qui n’arrive pas à nourrir sa propre population à soigner correctement ses citoyens et à leur procurer du travail décent et de supporter en plus des migrants venant de loin il est temps de bien contrôler nos frontières et de saisir le nombre des clandestins étrangers et de les renvoyer chez eux comme ce que font les pays européens avec les migrants clandestins tunisiens , ce n’est pas du racisme ce que protestent nos hommes politiques et ces associations humanitaires financées par les étrangers pour qu’ils fixent ces migrants dans notre pauvre pays .