Le président de la République Kaïs Saïed, conférant, ce jeudi, avec la cheffe du gouvernement Najla Bouden, a évoqué la possibilité d’imposer des taxes supplémentaires sur les « personnes qui tirent profit illégalement de la subvention de plusieurs produits et sans attendre des directives de l’étranger dans ce sens », indique la présidence de la République, sur sa page Facebook.
Il a ajouté que cette démarche était en vigueur dans les années 1940 en Tunisie lors de la création de la caisse de compensation pour la première fois, ajoute la même source.
L’entretien a porté sur les activités du gouvernement et les moyens de préserver les équilibres macro-économiques du pays.
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il ne faut pas stigmatiser les riches et la richesse qui existe depuis les nuits du temps même notre religion musulmane a imposé le Zakat ( impôts )pour la maison des finances des musulmans et les dons (sadakat ) , il faut exiger de tout citoyen et entreprise de payer correctement leurs impôts en fonction de leurs revenus quant aux dons ils doivent être consignés dans des fonds sociaux dits de solidarité pour venir aux besoins des pauvres leur procurer un toit avec toutes les commodités et du travail et d’aider les plus pauvres qui ne peuvent plus travailler. le régime de feu Bourguiba a crée le développement social dans les régions de l’intérieur et feu Ben Ali a crée le fonds 2626 alimenté par des dons des entreprises privées et publiques et par tous les citoyens selon leurs revenus les dons sont déductibles lors des déclarations de revenu aux recettes des impôts , ce fonds a contribué à améliorer la situation matérielle des gens pauvres à venir en aide des jeunes qui s’installent pour leur propre compte et financer des infrastructures dans les régions de l’intérieur , ces deux fonds n’ont jamais servi à combler les déficits de la fonction publique et des entreprises publiques qui étaient disons le bien gérées avant la révolution mais la gestion catastrophique du pays par les islamistes et leurs différents alliés les déficits publics se sont élevés à un niveau très élevé jamais atteint avant la révolution il faut que l’État réduit d’abord ses déficits chroniques par la hausse vertigineuse du nombre des fonctionnaires opéré par les islamistes au pouvoir et par hausse des salaires sans productivité opérée et exigée par le syndicat et les grèves récurrentes payés par l’État patron ce qui a alimenté l’inflation et l’endettement de l’État .