La cheffe du gouvernement, Najla Bouden Ramadhane a pris part, vendredi, au palais du gouvernement à la Kasbah, à une séance de travail ministérielle consacrée à l’examen de l’avancement de la mise en œuvre des mesures décidées récemment au profit de la communauté africaine établie en Tunisie.
Le Conseil a passé en revue « les mesures prises par différents ministères pour communiquer avec les communautés africaines d’Afrique subsaharienne », et a affirmé « l’engagement de l’Etat tunisien à lutter contre toutes les formes de traite des êtres humains et d’exploitation économique des migrants », selon un communiqué publié par le Présidence du gouvernement.
Le 5 mars 2023, la Présidence de la République avait annoncé un certain nombre de mesures au profit des étrangers résidant en Tunisie dont notamment la délivrance de cartes de séjour d’un an aux étudiants des pays africains, la possibilité de renouveler périodiquement leurs documents dans des délais appropriés, le prolongement du permis de séjour de trois mois à six mois, la facilitation des départs volontaires pour ceux qui le souhaitent et la garantie d’une assistance sociale, sanitaire et psychologique.
tous les étrangers en situation régulière ayant une carte de séjour et un permis de travail sont toujours soit pour suivre des études supérieures ou pour travailler provisoirement en Tunisie sont toujours respectés et ont les mêmes droits que les citoyens mais il n’est pas question de s’établir définitivement dans le pays alors que le pays appauvri par les islamistes leurs alliés traverse la pire crise économique financière et sociale la plus grave de son histoire et ses propres citoyens fuient leur pays en migrants réguliers et clandestins vers l’Europe le Canada et les pays du golfe et d’autres pratiquent la mendicité pour survivre par absence suffisamment de postes d’emploi