AccueilActualités - Tunisie : Actualités en temps réelTabboubi appelle à placer 2022 sous le signe de l'école publique

Tabboubi appelle à placer 2022 sous le signe de l’école publique

Le secrétaire général de l’Union Générale Tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Tabboubi, a appelé dimanche à placer l’année 2022 sous le signe de l’école publique.

Présidant la conférence de la fédération générale des surveillants et surveillants généraux, Tabboubi a mis en garde contre la grave dégradation des différentes composantes de l’école ainsi que sur la baisse du pouvoir d’achat des enseignants.

Le secteur a besoin de réelles réformes touchant tout le système éducatif a-t-il souligné, appelant divers intervenants à dépasser leurs désaccords et à entreprendre les actions qui s’imposent pour empêcher la dépréciation de l’école publique.

Cité dans un post publié sur la page de l’organisation dans les réseaux sociaux, Tabboubi a fait le lien entre l’état des établissements publics et la multiplication des écoles privées.

Lors de la rencontre, Noureddine Tabboubi a, notamment, mis en avant la nécessité d’améliorer les conditions de travail des surveillants.

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1 COMMENTAIRE

  1. BRAVO MONSIEUR TABBOUBI.
    L’école publique.
    Elle faisait l’honneur des Tunisiens.
    Elle est l’usine des puissances intellectuelles de notre pays, source de notre énergie humaine.
    En effet notre énergie humaine est à entretenir, à augmenter et à bien utiliser.
    De ce fait, il est à noter que la première composante de cette énergie est la puissance intellectuelle et qu’elle ne se développe que par la bonne formation publique ou privée (si le public se désengage), par le recyclage et par la formation continue.
    Cette énergie n’est utile pour le pays que si elle est orientée selon des stratégies à courts, moyens et longs termes au service de notre pays pour la création des richesses matérielles et immatérielles.
    La deuxième composante de l’énergie est le temps mis au travail productif pour l’individu et pour la société. Ainsi, à compétences et à formations égales, la personne qui consacre six heure est plus énergétique que celui qui ne travaille que six minutes.
    La bonne gestion du temps entre travail et loisir (le perfectionnement personnel est une sorte de plaisir pour les ambitieux), est vitale pour l’individu et pour la société qui aspire à la survie dans une population mondiale voisine de 8 milliards d’âmes, actuellement sur la planète.
    La troisième composante est le rendement qui est conditionné par tout l’environnement du travail.
    Etant donné que le rendement étant toujours inférieur 1=100/100, il est facile de remarquer que, à compétences et à formations égales la personne motivée qui donne une moyenne de 70% sur une durée déterminée est plus énergétique que celle qui ne l’est pas et qui n’en donne que 0,7% sur la même période.
    La motivation pour le travail se maintient par des facteurs de santé, psychologique, sociale et économique. La motivation et la compétence pour l’accomplissement d’une mission donnée augmentent le rendement et par conséquent l’énergie humaine récupérable.
    L’amour de sa famille et de sa partie constituent une motivation. L’absence de frustrations liées à l’insécurité, sanitaires, judiciaire, financière etc, constituent une motivation.
    Bravo encore Monsieur Tabboubi pour ce reflex inchallah constructeur.

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