Commentant les déclarations du député Sadok Chourou selon lesquelles le FMI aurait imposé au gouvernement actuel de mater Ansar Chariaa ,comme au temps des régimes de Bourguiba, et de Ben Ali pour exclure les islamistes , pour accorder un prêt à la Tunisie, Ali Larayedh a démenti ,dans une interview accordée à Jawhara FM ,cette version des faits affirmant que le FMI n’a à aucun moment soulevé ce point, soulignant que ces déclarations n’arrangent pas les intérêts de la Tunisie.
Il estime que les régimes Bourguiba, et Ben Ali qui étaient en place à l’époque ,voulaient « écraser une partie politique et sociale très populaire et très compétente ».
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