Commentant pour AM, l’information de l’existence avérée de 157 associations opérant en Tunisie et exerçant des activités suspectes, le porte-parole du syndicat de sûreté républicaine Habib Rachdi nous a affirmé que «ce nombre ne représente pas le 1% des associations qui sont entrain de financer le terrorisme en Tunisie ».
Dans un entretien téléphonique avec Africanmanager, il a imputé la responsabilité de cette situation à la commission chargée du contrôle à la Banque Centrale «qui n’est pas entrain d’accomplir sa mission », a-t-il dit.
Pour ce faire, Habib Rachdi a appelé les parties intervenantes à revoir le statut de ces associations tout en contrôlant leurs sources du financement. Dans le même contexte, il a exhorté le ministère de l’intérieur à poursuivre en justice les impliqués.