Le Famex 2 a été clôturé en 2010 avec un bilant très brillant, car il a permis de booster les exportations tunisiennes vers l’Afrique et particulièrement les services et de multiplier le nombre des entreprises ayant exporté pour la première fois, grâce à ce Fonds avec financement le Banque Mondiale.
Un Famex 3 était programme pour l’année 2011, mais avec la Révolution tunisienne, un coup d’arrêt a été asséné au Cepex, et vu que la Tunisie ne dispose pas d’une Constitution, ni d’un gouvernement stable, les bailleurs de fonds, dont la Banque Mondiale, ont été réticents d’agissant du renouvellement de l’expérience de financement avec la Tunisie, en attendant des jours meilleurs. Le Gouvernement provisoire de la Tunisie décide alors de rayer d’un trait de plume le projet FAMEX, ce qui fut ressenti par les entreprises tunisiennes et les operateurs comme une trahison et un manque d’appui et une absence de vision d’un gouvernement n’ayant aucune expérience économique et absorbé plus par l’application de la Charia, la loi des Habous ou l’amnistie générale, que par la résolution des problèmes économiques.