Le président de la République, Béji Caïd Essebi, a présidé vendredi la réunion des signataires du Document de Carthage, « la dernière du genre et à ce titre », a-t-il tenu à préciser dans une allocution.
Il a ajouté qu’il « n’a de leçons à recevoir de personne », affirmant qu’il n’ya pas quiconque respecte la Constitution plus que lui.
Il répondait sans doute à l’initiative de certains députés de l’ARP demandant la convocation d’une séance plénière urgente sur le « hold-up perpétré par la présidence de la République sur les prérogatives du Parlement » en outrepassant les siennes stipulées par la Constitution en lien avec les consultations sur le Document de Carthage 2 et la question de changement du gouvernement.
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