Quatre sur cinq bouteilles d’huile d’olive extra-vierge « italienne » sont en fait mélangées avec de l’huile étrangère dans un secteur qui affiche un chiffre d’affaires annuel de cinq milliards d’euros, révèle, vendredi, le journal italien « La Repubblica ». De l’huile d’olive bon marché en provenance de Tunisie, de Grèce, d’Espagne et du Maroc est mélangée avec de l’huile italienne vendue plus cher dans le cadre de pratiques de grande opacité qui sont en train de faire l’objet d’une enquête actuellement menée par les autorités douanières et le fisc, ajoute le journal.
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