On apprend, selon une information rapportée par notre collègue Attounissia, qu’un climat de très forte tension prévaut actuellement à l’Agence Nationale de la Formation Professionnelle (ANFP).
Cela remontait à vendredi dernier, lorsque le nouveau PDG, un partisan du CPR (parti de la troïka au pouvoir en Tunisie), s’était mis à écarter un certain nombre de cadres, sans aucune explication. La situation s’était détériorée, lorsque les deux parties, pour ou contre le PDG, en étaient venus aux mains et que le PDG a été empêché d’accéder aux bureaux. Le ministre de la bonne gouvernance qui nous déclarait ne pas être au courant de nominations partisanes, ne devrait-il pas s’intéresser à ce cas ?
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