La banque britannique HSBC a publié, récemment, une étude estimant le coût économique du Printemps arabe pour les trois dernières années. Selon HSBC, les soulèvements populaires, heurts, révolutions et leurs conséquences ont généré une facture de 800 milliards de dollars entre 2010 et 2012.
Sur les prévisions pour fin 2014, la banque a souligné que le PIB de sept pays jugés par la banque comme étant les plus impactés (Égypte, Tunisie, Libye, Syrie, Jordanie, Liban et Bahreïn), devrait être 35% inférieur aux prévisions établies avant les révolutions (2011).
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