» Les forces de la garde nationale et de la police se sont rebellées contre le régime , le 14 janvier 2011 , et ce suite au coup d’Etat mené par Samir Tarhouni, chef de la brigade Anti-terroriste » , a indiqué l’ancien chef de la sécurité présidentielle, Ali Seriati , dans une Interview accordée au journal « Ekher Khabar ».
Et de préciser que les enveloppes des balles prouvent que les martyrs n’ont pas été tués par les forces de sureté relevant du ministère de l’Intérieur ou par des soldats de l’armée nationale, mais plutôt des groupes terroristes, équipés de fusils d’assaut Kalachnikov, et se sont infiltrés sur territoire tunisien pendant ces évènements pour tuer des manifestants.
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