Intervenant sur les ondes de Mosaïque fm, l’activiste Zouhair Makhlouf, secrétaire général de la section tunisienne d’Amnesty International, a affirmé mercredi 13 février, que 4000 hommes d’affaires n’ont toujours pas été interrogés ou jugés, que le retard pris dans la création de l’instance supérieure pour la justice transitionnelle est important, et que l’article relatif au jugement des coupables d’actes de corruption a été retiré.
Le secrétaire général de la section tunisienne d’Amnesty International estime enfin que le transfert des affaires de corruption à la commission de lutte contre la corruption est un grand coup porté à la justice transitionnelle.
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