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L’Université de Tunis, l’ENIS et l’Université de Sfax dans le top 30 des universités africaines

L’Université de Tunis, l’Ecole nationale d’ingénieurs de Sfax et l’Université de Sfax figurent dans le top 30 des universités africaines influentes par la recherche. Respectivement à la 20ème, 21ème et 28ème place, ce classement a été effectué à l’occasion du sommet sur les universités africaines qui s’est  tenu les 30 et 31 juillet à Johannesburg. Un soupçon de fierté,  pourrait-on dire, quand on sait toutes les tares qui minent le secteur de l’enseignement supérieur actuellement en Tunisie.

Absente du top 15 publié il y a deux semaines, la Tunisie voit ainsi son nom apparaître dans ce ranking effectué par le Times Higher School, journal anglais spécialisé dans les classements académiques. Ce dernier classement reflète les influences provoquées par les universités africaines par leurs recherches académiques entre 2009 et 2013, en se servant de la base de données Scopus de l’éditeur de journaux scientifiques Elsevier

Trois pour la Tunisie et autant  pour le Maroc

Avec 12 universités, l’Afrique du Sud rafle la mise, suivie par l’Egypte qui en compte 6, puis la Tunisie et le Maroc comptent chacun 3 universités, puis une (1) université pour le reste des six autres pays présents dans le classement. Sur les dix pays, l’Afrique francophone est représenté en plus de la Tunisie et du Maroc par l’Université de Yaoundé I au Cameroun.

le top 30 des universités africaines
Top 30 des universités africaines

Ouvrant les travaux de ce sommet, l’ancien Président de l’Afrique du Sud a invité  les universités africaines à démontrer qu’elles sont au cœur du développement du continent pour peu qu’elles obtiennent plus de financement public. « Dans de nombreux pays africains, les gouvernements sont gagnés à l’idée de considérer les dépenses sur les universités et donc de l’enseignement supérieur comme un coût onéreux mais inévitable, plutôt qu’un investissement absolument nécessaire et bénéfique », déclare l’ex-président sud-africain, qui estime que l’une des principales tâches des universités serait de convaincre la classe politique qu’elles sont effectivement au cœur de l’agenda de développement de l’Afrique et ont besoin de nouveaux investissements, et de manière significative, de manière à améliorer leurs capacités à assumer leurs responsabilités relatives à ce programmes de développement.

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