Le ministre chargé des relations avec les institutions constitutionnelle et la société civile, Kamel Jendoubi, a affirmé dans une déclaration à Africanmanager, qu’il existe des parties qui œuvrent à éclabousser la Révolution tunisienne par le biais d’une « véritable campagne soutenue par différentes parties, telles que celles de la corruption et les réseaux de contrebande outre des parties intérieures et extérieures qui s’emploient à faire avorter l’expérience tunisienne ».
Il a ajouté que d’aucuns s’échinent à faire de la Tunisie un pays similaire au Liban en ce sens où l’Etat n’existe que dans la forme où cohabitent certaines libertés et le pluralisme mais qui, dans le fond, est dépouillé de sa souveraineté et dominé par l’argent sale et les influences extérieures, selon ses dires.