Dans la même vidéo, mise en ligne, le 30 janvier 2011, visiblement juste après son arrivée à Sfax de retour de France après la révolution, Moncef Ben Salem reconnaît qu’il avait «négocié avec Ben Ali, du fond de sa cellule, pour être libéré. Je suis ainsi sorti sans être jugé en 1987 ».
Moncef Ben Salem, qui reconnaît les bienfaits du Roi d’Arabie Saoudite à son endroit, intervenant en sa faveur auprès de Bourguiba et prenant en charge ses billets d’avion, dit de lui qu’il est «le représentant des Sionistes, l’espion des Sionistes et une marionnette entre leurs mains». Plus reconnaissant que Ben Salem, tu meurs !