Le président, transitoire, de la République tunisienne Moncef Marzouki, a appelé le 1er mai 2013, les manifestants au groupe chimique de Gafsa à mettre fin à la grève qui a coûté à la Tunisie près de 2 mille milliards de dinars en deux ans, ce qui équivaut à la somme d’argent que les autorités tunisiennes cherchent à emprunter.
Marzouki a ajouté que cette grève menace l’économie nationale. «Autant je considère légal le droit à la grève, autant je considère que la prise en otage par un petit groupe de personnes, par des moyens illégaux, est une source de menace pour l’économie de la région et du pays», a dit Marzouki qui en appelle aux «sages de la région» pour mettre fin à ces pertes.
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