La présidence du gouvernement a condamné la fuite de l’enregistrement de la conversation entre l’ex-premier ministre, Béji Caïd Essebsi et Hamadi Jebali, chef du gouvernement, à l’issue de la cérémonie de passation des pouvoirs, en décembre 2011, la qualifiant d’acte immoral, illégal et contraire aux usage en vigueur dans l’exercice de la chose politique.
Un communiqué émanant de la présidence du gouvernement, annonce l’ouverture d’une enquête urgente et globale sur les circonstances de l’enregistrement et de la fuite de la vidéo.
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