L’UTICA dont le bureau exécutif s’est réuni ce mercredi, a appelé à la nécessité d’introduire des « ajustements nécessaires » au projet de loi relatif à la réconciliation actuellement soumis à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
L’Organisation patronale a réaffirmé son attachement au principe de la réconciliation nationale en tant que fondement de la justice transitionnelles, ajoutant qu’elle est pour la séparation entre les violations à caractère économique, d’une part, et les violations et les atteintes à la personne humaine et aux droits de l’homme, d’autre part, eu égard à l’importance que cette démarcation revêt aux plans théorique et pratique.
Elle attire l’attention sur le fait que « si la réconciliation a un coût, la non réconciliation en a davantage ».